salut tous le monde je vais écrire aujourd’hui un article qui est un peu en retard… bon c’est que j’ai passé une semaine très encombré avec le retour au classe et ma préparation pour repasser le permit (eh oui !! c’est la 3ème fois) bon laissons tous ça de coté…
En effet, ce dernier temps j’ai lu dans le blog de boudourou et dans plusieurs blog des rédacteurs de ce blog tel que le gouverneur de normaland freeman… sur l’article de Salah Hajja le fameux chef rédacteur de la quotidienne tunisienne « essarih »… en lisant cet article j’ai senti plusieurs chose à la fois la colère le dégout le chagrin et surtout .. surtout l’envie de lui répondre comme il le vaut….ce la est dit là je sens vraiment la valeur du manque du clavier arabe sur mon clavier… j’aurais voulu le répondre en arabe…c’est un peu cuisant..
Pourquoi je lui réponds ? parce que en lisant les réponses de ceux en relation directe avec ce article de Salah Hajja j’ai senti un manque de piment trop portée par la raison .. ne voulant pas et évitant même de s’approcher un peu de son niveau.. (Parce que il étais vraiment très bas très médiocre le niveau)… ils ont fait le mieux pour éviter les mots dures…mais moi je ne pense pas comme ça…
Je vais lui répondre parce que j’ai senti l’orgueil menteur, l’orgueil du chien du roi en pleine action….
D’abord Saleh Hajja commence par crier haut et fort son ignorance… « je ne sais pas utiliser l’internet et je m’en tape »… eh oui le 6/11/2007, il y a encore des journaliste dans ce monde qui ose dire ce là et ce la pour le bonheur du roi de
Alors après le pseudo journaliste commence à faire l’hymne se son amour au journaux au papiers en général.. il se surnomme un être en « « feuille » » ou un individu en « « papier » » j’ai pas pu comment exactement traduire la chose …(pour une fois il dit une chose véridique il le vaut bien ce surnom avec plein d’autre chose)… alors l’homme se dit toujours être heureux par la lecture des journaux, livres magazine et il mentionne, pour donner un goût d’héroïsme dans sa quête pour l’ultime être en « « feuille » », des souvenir d’enfance dans lequel il décrit son bonheur dans sa tête pendant son trajet à la librairie, jeune enfant, pour acheter un magasine égyptienne « Sindbad » … il vit toujours avec le même bonheur… rien n’a changé avec les années il a gardé la même mentalité…
Alors si Salah hajja revient au présent là il dit « alors c’étais jadis tous ce là aujourd’hui malgré les multiples tentatives de l’internet de pénétrer ma vie.. je résiste encore et surtout en apprenant l’existence de sites vulgaires diffamatoire impolis fondé pour médire et insulter les gens… »
Jusqu’à là on aurait pu que je lui suis hostile sans véritable raison je suis entrain de l’attaquer injustement… contrairement au autres bloggeurs moi je dis le passage net vers la langue de bois commence juste ici juste avec la tirade «… et douter des efforts d’autrui » une tirade bien classique du jargon de
Je reviens à l’article… après la tirade des efforts… alors là, il commence un autre hymne d’un autre genre… une longue série d’insultes… salaud, chauve souris de ténèbres, fantômes, lutin, criminel masqué(liste encore longue)… et puis il dit sa bêtise la plus absurde et la plus ignoble dans son article … « on m’a dit » puisque comme je l’ai déjà dis le vieillard ne sait pas manipuler l’internet « qu’il existe un site qui insulte son journal «Essarih » ( la cruauté de la vérité !!! il n’a jamais vu le site qu’il critique)…. En effet, il parle d’un des sites que je respecte le plus et à cause de ce respect et ma volonté perpétuelle de soutenir la liberté d’expression dans un pays comme le notre que j’ai rédigé ce article… encore une chose Boudourou n’a jamais insulté la moindre personne ou entité. Leur rédaction critiquaient toujours objectivement les articles les plus médiocres dans les journaux tunisiens et je vous assure ils ont vraiment du grand « TAF »…une autre chose qu’on peut remarquer c’est le nombre d’occurrence important des articles venu de « essarih » qui pour moi loin d’être injustifié…. c’est une nouveauté ce qu’ils font que moi j’estime révolutionnaire dans notre espace médiatique et que je supporte fervemment…..
Après que l’homme ait mentionné la raison de sa rédaction de cet article dans lesquelles il trahit les plus simple des principes de l’objectivité du journalistes (jamais vu le phénomène, mais comme même on ose la diffamation la plus abjecte) … il recommence la série d’insultes….. il termine par un passage plein de vanité et de prétentions mensongères sur soi même…le pire c’est que je suis sûre c’est qu’il croit ce qu’il dit…
Avec ce genre d’article, on fait le lavage du cerveau du simple citoyen… ce article qui attaquent ces esprits malveillants qui dérange leur paix d’âme pendant leur perpétuelle quête gain des faveurs du roi en lavant le cerveau du peuple(bien sûre je parle de Salah Hajja et confrères)…
Et voici une sagesse de Nirvanaghost7 que la vie ici lui a appris ; en Tunisie de l’après changement, les chiens de roi sont tellement médiocres et mesquins qu’on dépasse le taux habituel humain normal de ces attributs qu’on crée une dimension unique du « jamais vu » dans le domaine « absurde, bêtise »…
Cet homme Salah Hajja qu’on disait tellement du bien quand il était au « Sabeh » comme simple journaliste et qui dévoile toute sa laideur en ayant de l’influence…
Ce vieillard sénile qui n’a jamais répondu aux véritables questions qui n’a jamais vraiment pris de véritable responsabilité envers sa patrie pendant toute sa carrière pourtant étant dans le créneau pourtant ayant un certain pouvoir devra être mis dans le pilori (intellectuel bien sûre).
Désolé si j’ai perdu la froideur de ma tête…
Mon pays sera un jour libre….
1 commentaire:
loin de mon pays, je constate que les choses vont de plus en plus mal. Entre Aam salah qui commence à délirer et a accepter n'importe quel torchon dans son journal et nos chers étudiants qui ont beaucoup de peine à rédiger une ligne avec triple F7 sans pouvoir quand même corriger ce qu'ils écrivent. Université 7 novembre tu as dit? ca me donne une meilleure idée sur le pourquoi du comment (ki sidi ki jwadou)
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